- Taille et polissage d’opales d’Ethiopie

Second step, it’s time to select the stones and start grinding to free the stone from matrix.
Deuxième étape, sélection des pierres et dégrossissage pour libérer la pierre de la roche mère.
Third step is pre-shaping the stones according to the project and starting the sanding operations.
Troisième étape, donner une forme aux pierres selon le projet de taille et début du sablage.
Fourth step is sanding then fine polishing all over to reveal the flashes of the opal.
Quatrième étape, sablage puis polissage pour révéler les feux de l’opale.
Dernière étape, passer de la pierre au bijou, mariage avec de l’onyx sur une chaîne d’argent.
Below an opal cut in our studio set on a easy sizable silver hand forged ring :
MORE ABOUT OPALS ? http://www.madeinjoaillerie.fr/2011/03/lopale-precieuse-pierre-de-feux/
- Taille d’une ammolite du Canada et montage en fermoir interchangeable
Second step, it’s time to cut, here splitting the stone into 2 parts .
Deuxième étape, c’est la découpe, ici par le milieu de la pierre.
Third step is pre-shaping the parts according to the project.
Troisième étape, déteminer la forme selon le projet de taille.
Fourth step is polishing the edges, giving the final shape.
Quatrième étape, mise forme finale et polissage des bordures.
Last step, setting the clasp into the stone, ready for matching with an interchangeable neklace.
Dernière étape, montage en fermoir, prêt pour une association avec un collier interchangeable.
Worldwide shipment
https://e-boutique.anna-tabakhova.com/fr/25-fermoirs-en-pierres-inhabituelles
- Taille d’une cobalto-calcite et montage en fermoir interchangeable
C’est d’abord une pierre brute, non taillée, une cobalto-calcite, pierre microcristalline, de couleur rose naturelle.
Second step, it’s time to cut.
Deuxième étape, c’est la découpe.
Third step is pre-shaping the parts according to the project.
Troisième étape, déteminer les formes selon les projets de taille.
Fourth step is giving the final shape and polishing the edges.
Quatrième étape, mise forme finale et polissage des bordures.
Last step, setting the pearl on, as an eye, setting the clasp into the stone, ready for matching with an interchangeable neklace.
Dernière étape, fixation de la perle, comme un oeil sur la pierre, montage en fermoir, prêt pour une association avec un collier interchangeable.
D’autres cobalto-calcites ici : e-boutique.anna-tabakhova.com/fr/25-fermoirs-en-pierres-inhabituelles
- L’opale, par anna tabakhova
Cet article a d’abord été publié sur “Made in Joaillerie” . Voir l’article :
http://www.madeinjoaillerie.fr/2011/03/lopale-precieuse-pierre-de-feux/
Qu’elle soit orange pour l’opale de feu du Mexique,
bleue, blanche ou noire d’Australie, meringuée, miel, caramel ou chocolat en provenance d’Ethiopie,
l’opale offre un précieux tour du monde minéral en couleurs.
Coulée dans les anfractuosités de la roche mère qu’elle « cicatrise » superbement, c’est l’opale “boulder” d’Australie.
Lentement et précieusement lovée au cœur des « nodules » volcaniques éthiopiens, elle peut aussi prendre l’apparence d’une « noix » merveilleuse.
Des flashs rouges, verts, bleus s’ajoutent à la couleur de base et fascinent par leurs effets optiques complexes.
Le mystère de ses feux réside dans la diffraction de la lumière due à sa structure particulière ; ses couleurs iridescentes semblent vivre en elle, comme un feu inextinguible, uniques dans le monde minéral.
Il y a 2000 ans, Pline notait : « formées de ce qui fait le mérite des pierreries les plus précieuses, en elles se trouvent le feu subtil de l’escarboucle (grenat, rubis), l’éclat purpurin de l’améthyste, le vert de mer de l’émeraude ; et toutes ces teintes y brillent, merveilleusement fondues ».
Parée de feux si intenses, c’est ” l’Incendie de Troie”, une opale que Napoléon offrit à Joséphine.
Entrée en scène depuis peu dans le cercle de la haute joaillerie, l’opale d’Éthiopie était la star de la récente biennale des antiquaires.
Qu’elles soient polies, facettées, ou utilisées brutes, voire fracturées - témoignant de leur histoire violente au cœur de la terre - elles se révèlent dans des montures exaltant l’éclat de leurs jeux de lumière et sont toujours le centre du bijou, accompagnées ou non de diamants et pierres de couleurs.
Chaque mouvement renouvelle la capture de la lumière, faisant de l’opale une pierre dont on ne se lasse jamais : ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre …
Ne reste plus qu’à choisir votre couleur, taille, matière préférée, et grâce à leurs mille feux – briller à votre tour : de quoi donner à chacun/ chacune ” le goût de l’opale”.
Posted via : http://www.anna-tabakhova.com/fr/bijoux-de-creation-mineraux-pierres.html
- La perle de culture, par anna tabakhova
Cet article a d’abord été publié sur “Made in Joaillerie” en 2011. Voir l’article :
http://www.madeinjoaillerie.fr/guide/la-perle-a-travers-le-monde-perles-fines-et-perles-de-culture/
Paul Claudel dit d’elle :
« Elle ne brille pas, elle ne brûle pas, elle touche : fraîche et vivifiante, caresse pour l’oeil, pour l’épiderme et pour l’âme. »
Mais qu’est ce qu’une belle perle ?
Selon un perliculteur australien : “une perle doit vous paraître belle spontanément, sans qu’on vous explique pourquoi”.
L’éclat d’une perle c’est ce mélange de lumière qui glisse sur le pourtour de sa surface : son lustre, et de cette lumière émanant de l’intérieur, générée par l’épaisseur et la régularité des couches de nacre : son orient.
La conjonction de ces 2 qualités est appelée ” l’eau ” de la perle et donne cette impression particulière de rayonnement aux perles qui semblent alors “comme vivantes”.
Comme pour en compliquer l’appréciation, il n’existe pas de grille unique pour les perles, chaque pays producteur établit sa propre notation, mais on peut utilement se référer aux 5 S de la perle - comme le diamant a ses 4 C :
- Shine : lustre, éclat, brillance (critère le plus important)
- Shade : couleur
- Shape : forme (ronde, poire, cerclée, bouton, baroque …)
- Size : taille (en mm, autrefois au poids )
- Surface : qualité de la “peau” (marques de croissance)
Le monde est (parfois) bien fait, c’est au moment où les perles fines du Golfe Persique commençaient à s’épuiser, que la perle de culture du Japon fit son apparition sur le marché dans les années 1920.
Puis les Chinois sont devenus les artisans de sa démocratisation, avec près de 2000 tonnes/an produites par des moules, cultivées en eau douce.
Huître à lèvres blanches ou dorées (Australie, Mers du Sud), à lèvres noires (Tahiti),
moules à nacre rose irisée (Chine), c’est cette nacre du mollusque greffé qui donne leurs tons aux perles. L’animal sécrète naturellement sa nacre autour du noyau greffé par intervention humaine, et l’on ne découvrira la perle ainsi née – sa forme, sa taille, sa couleur, son éclat – qu’au bout de 2, 3 ans minimum.
Si une perle parfaite est une rareté et un exploit de la nature, les perles baroques, offrent le charme de leur forme irrégulière. Parce que chacune est unique, les romains les appelaient “unios” , révélant une beauté au delà de la perfection.
Les “keshis” sont des perles sans noyau, semences de perles minuscules ou dodues, comme « soufflées », intégralement formées de nacre, ce qui leur confère un lustre élevé et un aspect “sauvage”.
Alors que l’Australie, les mers du sud, le Japon et Tahiti (en fait les archipels autour de Tahiti)recherchent des perles de plus en plus parfaites et grosses, la Chine expérimente des techniques aboutissant à des perles très irrégulières et spectaculaires, le but reste toujours l’éclat “métallique, ” la couleur ” exotique”.
Paradoxe de la perle “imparfaite” un récent hybride de mollusque de Chine et du Japon, produit des perles comme froissées en surface, à l’éclat irisé, aux couleurs de bonbons : c’est la perle Kasumi.
Les rares perles du Golfe de Mexique, “Sea of Cortez”, présentent des tons sombres aux reflets arcs-en-ciel (ce sont les perles du collier de Marie-Antoinette).
Minéral créé par un animal sur intervention humaine, voilà ce qu’est une perle de culture.
Elles ont besoin d’eaux non polluées pour vivre, et sont la seule gemme qui ne subit aucune transformation après récolte.
Les prix vont de 10 € pour un collier de perles de Chine (dans un marché aux puces) à 800 000 USD – voire plus – pour un sautoir de perles parfaites d’Australie en 14 mm …
Blanche, gold, noire ou rose, ronde ou baroque, mais comment la porter ? Comme on aime bien sur !
Bien sage, en rang enfilé avec des nœuds, ou plus sport sur un caoutchouc, un lien de cuir ou un câble d’acier ou d’or.
La perle noire de Tahiti, se décline au masculin en boutons de manchettes, bracelet ou en lien de cuir.
De forme bouton, c’est la gemme idéale en bague, un gros volume pour un petit prix(comparé aux pierres précieuses …).
En poire, elle se prête idéalement aux boucles d’oreilles appairées ou … pourquoi pas dépareillées?
A porter seule ou avec des opales pour allier la beauté lunaire de la perle aux éclairs flamboyants des opales
De quoi donner à chacun, chacune “le goût de la perle”.
Posté via : http://www.anna-tabakhova.com/fr/bijoux-contemporains-perles-galuchat.html
- Natural shaped meteorite set with a black star sapphire
Black star sapphire silver setting on a natural shaped meteorite,
D’autres météorites bijoux ici : https://boutique.anna-tabakhova.com/fr/48-meteorites-bijoux
posted via http://www.anna-tabakhova.com/en/stones-meteorites-jewelry-unusual-material.html